Lettre ouverte contre la suppression de nos moyens

Cette lettre ouverte a été adoptée lors d'une réunion organisée le 24 mars à GRANDE-SYNTHE et réunissait les responsables et les représentants des associations des parents d’élèves de la F.C.P.E des lycées du Bassin de Flandre Maritime :  Noordover, de l’Europe , Jean Bart, les représentants de professeurs du Lycée Guynemer , du Lycée des Plaines du Nord  qui ont  dénoncé l’insuffisance des  Dotations Horaires Globales attribuées aux Etablissements pour l’année 2009/2010 ainsi que les suppressions de postes et de moyens ce qui provoque

- les difficultés voir l’incapacité du rectorat  de trouver des remplaçants lors des absences des professeurs  titulaires.

On trouvera cette lettre page précédente de ce blog.

Elle  a été envoyée par nos soins
- Au Président de la République, au Premier Ministre, au Ministre de l'Education Nationale
- aux différents médias "papiers" locaux, nationaux et régionaux.

Une copie avec une demande d'intervention a été envoyée entre autres vers
- les Présidents des groupes parlementaires à l'assemblée nationale et au Sénat,
- aux Députés,  Sénateurs locaux
- aux Maires des communes du secteur
- au Président de la région Nord Pas de Calais
- au Président du Conseil Général.
- à différents élus locaux

Certains d'entre-eux ont déjà répondu  qu'ils étaient intervenus auprès des responsables concernés et nous ont envoyé copie de leurs interventions et notamment  M. CAREME, Maire de Grande-Synthe qui a toujours été particulièrement présent à nos côtés pour appuyer nos actions.
Mais aussi nous avons déjà eu les réponses d'interventions de Monsieur DELEBARRE, député ,  Mme DEMARESCAUX, sénatrice, Monsieur PERCHERON , Président du Conseil Régional, Monsieur RAGAZZO , Conseiller Général et Maire de Fort-Mardyck , Monsieur RINGOT, Maire de Gravelines, Monsieur SAUVADET, Président du groupe Nouveau Centre à l'Assemblée nationale.

Nous attendons bien sûr d'autres confirmation d'interventions.
Le point sera fait des réponses concrètes apportées à nos inquiétudes.